J'ai essayer de te changer, de t'aider
Tu ne veux rien savoir, tu te laisse sombrer
C'est ta vie, ç'est tes choix, tu me l'a assez répéter
Je suis juste ta soeur et je souffre tellement à cause de toi.
Toi tu ne le vois pas, il faut dire que tu ne m'ignore .
Tu es là, on s'échange quelque phrase banale , mais rien de plus.
Tu m'as jeté hors de ta vie Alex...
Je te dis Adieu car je sais que tu ne reviendras pas.
Peut être qu'un jour tout changera.
Continu à pourrir ta vie de drogue, jusqu'à en mourir si tu veux.
Les ailes, peut-être que ça pourra te faire réfléchir.
Mais il sera trop tard.
Ne m'oublie jamais je t'en prie...
Tu as brisé mon coeur,
Et le brise à chaque fois que tu en allume un autre.
Si tu viens à mourir,
J'irai devant ton cerceuil, je mettrais des fleurs,
Des larmes de rages perleront mon visage,
Je n'aurai aucun regrets car tu l'auras chercher et je t'aurai avertie.
J'ai perdue mon frère celui que j'ai connu,
Pour laisser place à un droguer, un menteur
Quelqu'un qui me prend peu à peu pour une inconnue...
Alex, voilà quelques années, même des siècles que l'on s'est éloigné
J'ai peur que de te perdre à jamais
A présent je n'ai plus que les souvenirs heureux
Pour nous rassembler tous les deux
On s'entendait tellement bien, tu te souviens Frérot ?
Quand le soir tu venais juste là à côté de moi
Tu me racontais des histoires, des contes de fées
Pour que ta soeur fasse des beaux rêves enchantés
Quand j'avais besoin de toi, quand j'étais triste
Tu m'as appris à relever la tête, à être optimiste
Tu séchais mes larmes et me consolais
Et me disais que parfois la vie était compliquée
Quand je faisais des erreurs sur mon chemin
Tu étais là et tu me prenais la main
Pour m'aider à les effacer à jamais
Car oui, des conneries j'en ai fait
Quand tu ne voulais que mon bonheur
Tu étais toujours présent au fond de mon cœur
Tu me faisais rire, sourire, pleurer de joie
Je suis si triste quand je repense à ses moments là...
Saches que je serai toujours là...

Salut...

Je ne sais pas qui tu es...
Car tu t'identifie par ' Lame '
Mais saches que j'ai bien aimé tes 2 commentaires...
Je suis heureuse que tu crois me comprendre...
Mais je dois malheureusement t'avouer que moi, je ne me comprend pas du tout...
J'essai...
Mais c'est dur parfois..
Enfin bref...

Merci pour ce moment d'attention...

* Jolie demoiselle *

+ Catherine +

Humm je t'annonce que tu as été le premier à poster un commentaire sur mon blog ! ^^
Mais... Il n'y a pas de prix... ¬.¬' ... lawlz.

Je suis une fée déchue des cieux
Une âme perdue aux ailes brisées,
Qui par la douleur
Verse tous ses pleurs...
Vaste, mortel,
Haineux, silencieu,
Triste et élégant,
Voici l'amour qui se présente à ma porte ...
Bientôt la transparence de mes larmes
Et le sang  sur mes poignets
Me poseront dans un sommeil éternel et figé.
Triste et solitaire
Je suis une fée innocente
Aux ailes coupées...
Si la mort viens me chercher
Je crois que je me laisserai emporter... 

Je me sens prisonnière de mon enfance
Prisonnière entre les murs de ma solitude
Prisonnière de mon âme qui cherche une quelquonque délivrance...
Des fenêtre barricadées voilent mon amour
Des portes barrées m'interdisent de pensées
Mon âme souhaite des heures de libertée...
Prisonnière de mon monde,
Je crie mes maux
Mais, ils se meurent sans écho...
Je me construit dans ma tête des rêves impossibles
J'essai de m'accrocher des étoiles inaccessibles...
Dans mon cocon de solitude, perdue dans mes peines
Je contemple le monde extérieur avec un air ennuyer
Et laisse le temps passer...

Mes pleurs et mes tourments
Dans mon corps sont prisonniers
J'ai l'impression que l'on piétine mon coeur...
Tu me comprend n'est-ce pas ?

Mes yeux sont implorants
C'est ma réalité qu'on m'oblige à regarder
Laisser moi tranquille, je ne veux pas la voir, c'est affreux !
Tu me comprend n'est-ce pas ?

Mes lèvres ne savent plus chanter
Mon âme vit en silence
J'essai de m'enraciner dans le noir pour me cacher...
Tu me comprend n'est-ce pas ?

Mes pensées et mon opinion
Dans leur main sont effacés
C'est ma liberté qu'on assassine !!
Tu me comprend n'est-ce pas ?

La lame traverse ma chair
Le sang de mes veines s'élimine
C'est ma mort que j'ai causé
Tu me comprend n'est-ce pas ?