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Petite prose de fin de soirée...
De son corps menu se joue des jeux dangereux,
Des amusements contentant les âmes solitaires.
N'écoutant pas son coeur qui en sort toujours plus malheureux,
Continuant de se perdre dans les vilains plaisirs de la chaire.
Car peur de la solitude, elle se donne à qui veux bien
Ne sachant pas qu'au fond d'elle son âme pleure leurs gestes gras et déplacés.
Recherchant l'amour à l'eau de rose en vain,
Elle s'acharne dans des corps à corps avec l'impression d'être aimée.
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